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dimanche, 26 août 2012 11:54

Marotte remporte la Coupe de France VTT 2012

 

 
 
En s’imposant hier à Méribel, Maxime Marotte a fait coup double en remportant aussi la Coupe de France.  PhotoPQR/Le Dauphine/Sylvain Muscio

 

L'Alsacien Maxime Marotte s’est adjugé pour la troisième fois le général de la Coupe de France VTT, grâce à sa belle victoire lors de la 4 e et dernière manche à Méribel.

Cette saison, on ne peut pas dire que la réussite, ni même la chance, étaient de son côté. Maxime Marotte (BH-SR Suntour) l’avouait lui-même il y a quelques jours, sa « saison n’est pas catastrophique mais en demi-teinte ».

En remportant la dernière manche de la Coupe de France à Méribel, il a amélioré  le bilan de sa saison. L'Alsacien a pris la course en main, et a dominé ses adversaires dont  Stéphane Tempier, vice-champion de France et 11 e aux Jeux Olympiques et l’Italien Gerhard Kerschbaumer, champion d’Italie des moins de 23 ans et 13 e à Londre. « J’ai fait un bon départ, j’étais tout de suite bien placé, raconte Marotte. Je suis passé devant dans la descente et j’ai fait le forcing pour qu’il y ait un peu d’écrémage derrière. J’étais ensuite en tête avec l’Italien et Stéphane (Tempier), qui sont forts, mais j’ai été plus lucide qu’eux, je n’ai fait aucune faute technique.

« Je viens de terminer une bonne semaine d’entraînement, et là j’enchaîne avec une autre grosse semaine. La fatigue, comme pour beaucoup de coureurs, est sous-jacente. Et là, avec une course sur un circuit techniquement difficile, c’était encore un bon entraînement. »

Cette manche de Coupe de France a également permis d’engranger un peu de confiance avant les Championnat du Monde VTT de Saafelden en Autriche.

Antoine Ringenbach nous envoie une nouvelle extrait d'une vidéo dans le style Freeride Mini-Rampage tourné en Alsace... C'est un poil court mais on attend la suite avec impatience.

 
 


Un Aller - Retour pour rien , c'est le titre du communiqué publié par le CTR du Comité d'Alsace de Cyclisme FFC Alain Vigneron.

 

                   "Une fois de plus, nos coureurs alsaciens sont bien en deçà de leur valeur sportive - pourtant pas mirobolante - en revenant plus que bredouilles d'un championnat routier.

A la pointe, ils le sont tous, au niveau du matériel et de l'équipement de course. Pour le reste, c'est à dire l'essentiel, cela frise la mascarade. Derrière le tape à l'oeil et cette sorte d'exigence imbue à réclamer les meilleures conditions (matériel, hébergement, stage de préparation, etc…) se présentent des sportifs en format fast-food, ça dégouline. Ego sur-dimensionné, bluffs hystériques pour les uns, excédent de 10 kg pour d'autre, gloriole fiérote d'un coq à midinette de 15 ans pour un énième, le tour n'est pas complet, dois-je encore ajouter ceux en vacances, de retour ou en partance.

De vous en déplaise, ce n'est pas du ressort du soussigné de prendre en main - en préparation et accompagnement - celles et ceux trop éloignés des minimums requis pour faire de la compétition (qui plus est un championnat national) en termes de condition physique, conviction, aptitude à la performance.

Bien qu'en ayant tout à fait l'apparence, ceci n'est pas le traditionnel "coup de gueule" suite à une contre-performance. C'est une précision utile pour évacuer ce malentendu persistant s'agissant des prérogatives du comité régional et de son CTR.
Notre objet est de prendre en compte des jeunes personnes qui souhaitent aller vers la compétition sportive, une pratique particulière qui exige un certain nombre d'aptitudes et non pas seulement encadrer des activités ludiques, saines au demeurant car les enfants que j'amène aux sélections sont tous très attachants, épanouis et bien dans leur peau, ce dont bien sûr nous devons nous en réjouir et certainement pas déplorer!
Dont acte.

Relevons toutefois le bon comportement de Floriane Barberio en minines-cadettes, la courage de Alexis Huck en cadets et le professionnalisme de Ludovic Viennet en Espoirs.

Le CTR

PS : coût des championnats : 3000 euros (hors charges fixes)du 

vendredi, 17 août 2012 14:46

Championnat de France de l'Avenir CLM Juniors


Les championnats de France de l'Avenir 2012 ont débuté avec la victoire de Séverine Éraud, juniors première année de l'Étoile Cycliste du Don, en contre-la-montre. La sociétaire du comité des Pays de la Loire a devancé Marine Strappazon du VC Saint Julien en Genevois (Rhône-Alpes) et la Bourguignonne Manon Bourdiaux (JGS Nivernaise). L'alsacienne Elisa Haumesser ( VC Ste Croix en Plaine) s''est classée 14ème. Maxime Piveteau a rajouté un maillot tricolore à son palmarès en remportant le championnats de France juniors de contre-la-montre. Le Vendéen a bouclé le parcours tracé à la Chapelle Caro en 31'01". Il devance le Provençal Nicolas Carret et  l'Auvergnat Rémi Cavagna. Tom Boës ( VC Ste Croix en Plaine) à obtenu la 30ème place.

En famille sur les petites routes, avec des vélos couchés

Devant un camping du Sud-Ouest : « C’est une région où les cyclotouristes sont très bien accueillis par les propriétaires de campings.  Ce qui n’est pas toujours le cas le long des côtes de la Méditerranée… » DR

Conquise depuis quatre ans par les vacances nomades au rythme lent du deux-roues, la famille Hilbert, de Colmar, achève un voyage de 2 500 km à travers la France.

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En famille sur les petites routes, avec des vélos couchés

le 14/08/2012 à 05:00 par Élisabeth Schulthess


Devant un camping du Sud-Ouest : « C’est une région où les cyclotouristes sont très bien accueillis par les propriétaires de campings.  Ce qui n’est pas toujours le cas le long des côtes de la Méditerranée… » DR

Devant un camping du Sud-Ouest : « C’est une région où les cyclotouristes sont très bien accueillis par les propriétaires de campings. Ce qui n’est pas toujours le cas le long des côtes de la Méditerranée… » DR

Conquise depuis quatre ans par les vacances nomades au rythme lent du deux-roues, la famille Hilbert, de Colmar, achève un voyage de 2 500 km à travers la France.

« Que ne l’avons-nous tenté plus tôt… » Annemarie et Frédéric Hilbert ainsi que leurs fils n’envisagent plus de passer autrement leurs vacances que sur un vélo couché, pour goûter aux paysages de France, de Navarre et d’ailleurs.

Cet été, ils ont pris, à la mi-juillet, le TGV, direction Bordeaux. De là, ils n’ont plus quitté leur monture jusqu’au retour, prévu le 18 août. Quatre semaines et demie à pédaler le long de la côte atlantique jusqu’à Biarritz en suivant la Vélodyssée, à traverser les contreforts des Pyrénées et le Gers, pour emprunter à Toulouse les bords du canal du Midi jusqu’à Montpellier. Un petit tour par la mer à Agde et changement de direction, cap vers l’Alsace. À raison de 80 km par jour en moyenne, plus ou moins selon les dénivelés et la qualité du tracé.

« Rien de bien sportif, rassure Annemarie. Chacun roule à son rythme. Nous empruntons les pistes cyclables ou les petites routes, à l’écart du trafic. Nous aimons la diversité des paysages, qui changent chaque jour. Nous nous sentons en harmonie avec la nature. »

Et les enfants ? « Ils ont pris goût à la locomotion lente. L’aîné, qui vient de trouver un emploi, serait volontiers parti avec nous. Les deux autres, qui ont 15 et 19 ans, étaient libres de venir ou pas. » Ils ont choisi le voyage familial. « C’est un temps d’échanges privilégié : durant l’année scolaire, nous n’avons pas l’occasion de vivre autant ensemble, souligne la maman. Plus on avance, plus on est détendu. On se coupe du quotidien et l’on revient serein, même si l’on n’a pas très envie de rentrer… »

Ces vacances nomades, ils les conçoivent sur le mode de la liberté. S’arrêter quand bon leur semble, s’affranchir des contraintes de la réservation des campings, visiter Bordeaux ou Carcassonne, se détourner de Toulouse, « peu accessible à vélo », prendre le temps de parler avec des petits producteurs de fromages ou de saucisses du terroir et faire provision de spécialités locales pour les jours à venir…

Leurs grosses sacoches leur assurent une autonomie certaine. Tentes, sacs de couchage, réchauds à gaz et à bois, casseroles, vêtements et quelques vivres : il y en a pour près d’une centaine de kilos, 30 à 35 kg pour le père, 20 pour la mère et chaque jeune.

Le vélo couché leur vaut des échanges inattendus au détour d’un chemin ou le soir au camping. « Il intrigue. » Et facilite l’entrée en conversation. « Entre cyclotouristes, on s’échange cartes et bons tuyaux, on passe des soirées sympas ensemble. »

Leur premier voyage, de Saint-Nazaire à Colmar, c’était sur des vélos droits. Avec l’inévitable mal aux fesses. Le deuxième, de l’Alsace à Budapest, le long de l’Eurovélo 6, sur des vélos couchés, achetés d’occasion en Allemagne et en Hollande, environ 1 000 € pièce, a été convaincant : « C’est très confortable, on n’a plus mal nulle part. »

Un investissement conséquent, compensé par l’abandon de la voiture : « A Colmar, nous circulons à vélo ou à pied. Si occasionnellement il faut une voiture, nous en louons une à la coopérative Auto’trement. » Et le budget vacances ? « Pas plus élevé qu’une location. » Le billet de TGV leur a coûté 45 € par personne, vélo compris, en réservant trois mois à l’avance, au guichet. « La SNCF a fait des progrès, mais tous les trains ne sont malheureusement pas accessibles aux cyclistes. Avec des vélos couchés, plus grands que les normaux, il faut s’amuser à les empiler. Quant aux familles avec jeunes enfants, elles ne peuvent pas embarquer de remorque. »

Cyclistes militants, les Hilbert participent à l’organisation du Festival du voyage lent à Colmar baptisé « Du bout de la rue au bout du monde », estimant « qu’il n’y a pas besoin d’aller loin pour être dépaysé ». Ils avancent sans essence, à la force des mollets. « Ça fait du bien au corps, et à l’esprit ».

vendredi, 10 août 2012 11:44

Vidéo 10 ème DH de Barr -2012

Pour ceux qui veulent revoir la 10ème descente de BARR...en espérant qu'on puisse voir la 11ème l'an prochain.

This is... Ep.2 - 10ème DH de Barr from BK-Productions on Vimeo.

Privé de compétitions de DH digne de ce nom, les jeunes descendeurs alsaciens vont courir à l’étranger. Maxime Gasser et Antoine Ringenbach membres de l’association Maxgik Bike basé en Alsace ont participé à la Big Ride qui se déroulait le 21 juillet à Morgin (CH) histoire d’emmagasiner de l’expérience pour la saison prochaine. Tous les deux piaffent d'impatience  d'attaquer leur première saison chez les grands.

L’épreuve proposée par la société de Remonté Mécanique de Morgin consistait à effectuer 4 descentes chronométrées sur 4 tracés de descente différents. Antoine Ringenbach (Maxgik Bike - Vélo Top- Kona) se classe 2ème chez les 13 -14 ans , Maxime Gasser (Maxgik Bike) se classe 7ème chez les 15- 16 ans.

Nicolas Lau (Cube Action Team) remporte l'Enduro de Valloir deuxième manche Enduro des Nations et Coupe de France Enduro FFC.

 

Le Top Mondial en  l'Enduro est  Alsacien.  Nicolas Lau confirme au plus haut niveau que du bonheur !

 


 

La sélection du Comité d'Alsace présente au Trophée National des Jeunes Vététistes de Lons le Saunier a finit à la 7ème place sur 23 au classement général par Comité. lire la suite...


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