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Pour les enfants, le chemin de l’école est l’occasion de vivre un grand nombre d’expériences sociales, si celui-ci peut être effectué de manière active et indépendante. 

En principe, la responsabilité du chemin de l’école incombe aux parents. Ce sont eux qui déterminent la manière dont leur enfant se rend à l’école.

Le vélo offre de nombreux avantages. Souvent, il permet de se rendre à l’école plus rapidement, plus facilement, de manière autonome et avec des amis. L’activité physique en plein air renforce les défenses immunitaires, prévient les phénomènes de surpoids, améliore les capacités motrices et aide à la concentration des élèves en classe. Mais en plus d’augmenter l’autonomie des enfants, faire du vélo est aussi et avant tout synonyme de plaisir. Il n’est d’ailleurs pas étonnant qu’une majorité d’enfants considèrent le vélo comme leur moyen préféré pour aller à l’école. 

En France, la frange des enfants et les adolescents qui utilisent leur vélo pour  se rendre à l'école fait partie des minorités. De nombreux modes de déplacement alternatif sont venu concurrencer le vélo mais on ne peut pas parler de désintérêt pour la bicyclette. Le défaut d’infrastructures cyclables sur le chemin de l’école, l’absence de culture du vélo au sein des familles. C'est justement la crainte des parents liées à la sécurité sur la route qui est le plus dissuasif.

On note une augmentation du phénomène des «parents taxis» où les enfants sont amenés à l’école en voiture ce qui perturbe augmente encore la circulation automobile aux abords des écoles. Ce phénomène  pousse des communes à créer et organiser  des parkings de dépose minute à proximité des école.
Ce type d'infrastructure favorisant l'usage de l'automobile peu surprendre si a terme on souhaite réellement réduire l'usage de la voiture pour des trajets courts et apaiser la circulation dans nos villes et villages.

Mercredi était une de ces journées qui m'a conforté dans mon choix de faire d'ici peu de l'enseignement du vélo un vrai  job à  temps plein. 
Durant cette journée, j'ai rencontré trois garçons et bien sur des parents et grands-parents qui comptaient sur moi pour passer un cap pour aider leur(s) enfant(s) à #roulersans roulettes ou #maîtriserlevélo.
Des profils et des cas vraiment différents à #Mulhouse, #Soultz et #Cernay. J'ai réussi à débloquer la situation en installant "l'équilibre" la confiance et la réussite "step by step".
Apprendre aux enfants et aux adultes à bien faire du vélo ça a du sens! 

Avis et Référencement : Vous avez fait appel à mes services n'hésitez pas à publier un commentaire sur Mybusiness  https://g.page/r/CSzb1W8LudiTEBA ou sur le Facebook (bandeau menu AVIS ). MERCI !

Parents ou grand-parents profitez de cette période de vacances pour offrir un ou plusieurs cours de vélo à vos enfants ou petits enfants.

Le vélo sera certainement plus présent à l'école dans les années à venir et un cap sera à passer.
Pour éviter tous stress je vous propose d'accompagner votre enfant ou petit-enfant individuellement pour acquérir les bases technique du vélo de manière pédagogique et professionnel.

Mes atouts : Adaptation, efficacité, sécurité, expertise !

                   - Je m'adapte au niveau de pratique (ex: enfants n'ayant jamais fait de vélo)
                   - Je met à disposition des vélos adaptés à la morphologie des enfants gage de sécurité  
                   - Bénéficiez de mon expertise et de mon savoir faire de + 25 ans d'enseignement du vélo aux enfants.

Pour communiquer de façon efficace et inédite à propos de l'enseignement du vélo pour les adultes et les enfants dans le centre du département du Haut-Rhin , j'ai fait appel à un graphiste et à un imprimeur une démarche qui coûte un peu mais le résultat est là et les retours sont plutôt sympathique. 

Le 11 mai, une crise de la mobilité va s’ajouter à la crise sanitaire. Pour éviter le retour massif de la voiture et une pollution accrue, les associations de cyclistes et de piétons se mobilisent activement. Elles proposent des solutions pour alléger les transports collectifs et limiter le recours à l’automobile individuelle. De nombreux aménagements piétonniers et cyclables sont déjà à l’étude mais certaines problématiques se posent encore. Parmi celles-ci, la mobilité des enfants n’est ni la moindre, ni la plus étudiée.

«Et le transport des élèves, on en parle quand ?», questionne l’Association nationale pour les transports éducatifs de l’enseignement public. L’Anateep rappelle qu’un élève sur trois utilise aujourd’hui un transport collectif entre son domicile et l’endroit où il est scolarisé. «Un angle mort» qui représente la bagatelle de 4 millions de scolaires, soit 8 millions de trajets quotidiens. Alors que les inquiétudes se multiplient autour des transports en commun, leur usage par les plus jeunes soulève beaucoup de questions. Mais c’est un problème plus général : les déplacements des plus jeunes intéressent peu de monde.

Ainsi, la part de l’automobile dans les trajets domicile-école n’a cessé d’augmenter ces dernières décennies. En 30 ans, les trajets à pied des enfants de plus de 6 ans ont diminué de 20%, et ceux en vélo de 60% alerte l’Onaps. L’Observatoire de l’activité physique et sportive estime que 49% des enfants de 3 à 10 ans et 30% des 11-14 ans sont désormais amenés en voiture à l’école par leurs parents.

L’accompagnement des enfants se fait la plupart du temps sur le chemin du travail. Pour que les parents se reportent sur le vélo, il est indispensable que les enfants puissent pédaler avec eux.

Suite de l'article https://www.maisonduvelolyon.org/deconfinement-lenjeu-central-de-la-mobilite-des-enfants/