Micro en main, Jean-Jacques Zwibel est un intarissable animateur d’épreuves sportives. Photo Denis Sollier
Le Ludovicien a dans le même temps développé sa pratique de la petite reine comme cyclotouriste. « À Altkirch, je faisais du vélo pour me déplacer, comme tout le monde. À Saint-Louis, je ne connaissais pas grand-monde, alors j’ai acheté un vélo demi-course pour rouler ».
S’il écume les épreuves haut-rhinoises Jean-Jacques Zwibel a connu son heure de gloire aux côtés du speaker du Tour de France, Daniel Mangeas, en 1992.
Avec une aptitude à la critique constructive il n’hésite pas à interpeller les élus en s’impliquant dans l’association ludovicienne Osez Vélo pour la pratique du vélo en toute sécurité dans le secteur frontalier.
La timidité ne caractérise pas Jean-Jacques Zwibel, il ne se souvient d’ailleurs pas l’avoir été.
Adepte des bons mots, Jean-Jacques Zwibel apprécie les contre-pétries, qu’il distille au fil de ses commentaires d’épreuves sportives. L'insouciance de l'amuseur public cache bien un coté rigoureux voir pointilleux. Sa règle d'or « Il faut faire les choses sérieusement, sans se prendre au sérieux ».