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Pratique, économique, non polluante et respectueuse de l’environnement, la pratique du vélo favorise une réappropriation de l’espace public et améliore le cadre de vie des habitants. La Région Grand Est souhaite devenir la 1ère région cyclable de France et offrir à ses citoyens un mode de transport sécurisé, en phase avec leurs attentes.

Deux réunions de travail ont permit  de définir en amont les axes majeur de l'élaboration de la stratégie cyclable régionale  Enjeux CR 28 mai 2021  et Actions Intermodalités et emport des vélos Région Grand Est

La Région Grand Est a organisé mardi 15 février 2022, un programme dédié à 100% à la pratique du vélo, invitant ainsi collectivités, agences d’urbanisme, partenaires institutionnels, associations, clubs sportifs, acteurs économiques et de formation, à prendre part à l’élaboration d’une stratégie cyclable à 360° !

Un séminaire participatif pour devenir la première région cyclable de France

Mobilité, économie, formation, tourisme, santé, sport, aide aux territoires, lycées : cette stratégie se veut être un véritable plan à 360°, co-construit avec les acteurs du terrain.

Au total, ce sont plus de 230 participants qui ont suivi le séminaire en présentiel et en visioconférence, au Siège de la Région à Strasbourg. Ils ont découvert, échangé, partagé y compris lors de groupes de travail thématiques, autour des pratiques actuelles du vélo, de ses enjeux et objectifs à venir.

Le PI-POP est un vélo à assistance électrique sans batterie… Mais comment est-ce possible lorsque l’on sait que c’est grâce à la batterie qu’il avance ? STEE utilise une technologie innovante basée sur les supers condensateurs. Au premier regard, il ressemble donc à un vélo électrique classique, mais en fait, c’est un vélo RÉVOLUTIONNAIRE ! PI-POP est le fruit de la recherche de plusieurs années par Adrien Lelièvre, directeur de STEEqu’il a repris en 2016. Actuellement, l’entreprise emploie 25 personnes et continue de développer le PI-POP Le vélo électrique du Loiret pèse environ 20 kilos et embarque donc des supercondensateurs en lieu et place de la batterie. Ces pièces mécaniques et électroniques vont emmagasiner l’énergie dès lors que le pédalage est activé. Ils vont ensuite redistribuer l’énergie dès lors que l’appui sur les pédales se fera plus fort… Le PI-POP déclenchera donc l’assistance électrique dès l’amorce d’une côte ou en cas d’accélération.

Les entreprises sont invitées à « verdir » un peu plus les déplacements professionnels

Alors que les déplacements des salariés sont au cœur de la loi d’orientation des mobilités, que font les entreprises pour encourager leurs salariés à privilégier des transports peu polluants ? Malgré un bilan mitigé des plans de déplacements la prise de conscience semble amorcée.

Retrouver l'article parut dans le Monde.

Une aide pour accélérer la conversion des employeurs au vélo (lemonde.fr)

Grand-Est-Region

La Région Grand Est a initié en 2021 l'élaboration de sa stratégie cyclable régionale.

 

Après avoir réalisé un diagnostic de son territoire et identifié 5 grands axes recoupant l'ensemble de ses compétences, la Région va lancer en février 2022 la phase d'élaboration de son plan d'actions et n'oubliant pas  d'associer les acteurs locaux et associatif à la  co-construction de ce plan d'actions.

Le Président de Région va initié  la première rencontre en présentiel et en diffusion webinaire : 

mardi 15 février 2022 au siège de la Région

place Adrien Zeller à Strasbourg

 

Les invités de la séance plénière :

Clotilde Imbert, Présidente  Copenhagenize France, agence conseil en urbanisme cyclable.

 -“Blue Bike” système belge de vélos partagés en gare

Christian Prudhomme, Directeur général de la Société du Tour de France

Jean Rothner, Président de la Région Grand Est

 

 Vous pouvez dès à présent  prendre connaissance  du  programme.

À l'occasion de son congrès annuel, la FUB a dévoilé les résultats et le palmarès du Baromètre des villes cyclables, édition 2021.

 

Top 3 palmarès des grandes villes 

 

 

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En 2021, la mobilisation fut plus forte que jamais. Du 14 septembre au 30 novembre 2021, les usagers du vélo ont été invités à répondre à un questionnaire en ligne afin d'exprimer leurs attentes et ressentis concernant leurs déplacements à vélo au quotidien. En fonction de la note globlale attribuée par les français(es), les villes ont été catégorisées sur une échelle de A+ à G allant de "climat vélo excellent" à "climat vélo très défavorable". Les scores obtenus ont également permis d'établir un classement des communes à travers 5 catégories : grandes villes, communes de banlieues, villes moyennes, petites villes, et bourgs et villages. Pour cette édition, la plus grande enquête citoyenne sur le vélo dans le monde a répertorié : 277 384 contributions (+ 50 % par rapport à l'édition de 2019) 1 625 communes qualifiées (+ 107 % par rapport à l'édition de 2019) 8 111 communes avec au moins une réponse de cycliste 1 176 857 contributions cartographiques (points à améliorer, progrès, besoins en stationnement vélo) Des chiffres qui reflètent le ressenti général et l'attente des Français.es sur l'émergence d'un véritable système vélo !

 

 

 

 

 

Pour être qualifiées, les communes devaient obtenir au moins 50 sondages validés. Pour chacune des 26 questions, réparties en 5 thématiques, les personnes ont pu attribuer une note entre 1 (négatif) à 6 (positif). Une note globale (moyenne à 3,5) a été calculée pour chaque ville à partir de la moyenne des 5 thématiques (ressenti général, sécurité, confort, efforts de la commune et stationnement/services vélos).

 

En fonction de cette note globale, les villes ont été catégorisées sur une échelle de A+ à G allant de climat vélo excellent à climat vélo très défavorable. 

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Au niveau de la progression et des efforts effectués par les communes,  Kingersheim est en pointe avec 44 % des gens sondés qui expriment une amélioration, Mulhouse est dans une moyenne basse  31 % des sondés expriment une amélioration 50 % expriment une situation sans changement et 18 % une dégradation. A Pfastatt  les usagers indiquent une dégradation de la situation.

 

 

 

Retrouvez  le détail des résultats par commune en cliquant sur ce lienBaromètre Villes Cyclables -  Palmarès 2021

 

 

L'association Strasbourg à vélo organisait ce samedi après-midi une manifestation à bicyclette sur l'axe Strasbourg-Schiltigheim-Bischheim. Un rassemblement festif pour illustrer la dangerosité de ce trajet, dénué d'équipements pour la sécurité des cyclistes.

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Ras-le-bol. Toutes sonnettes hurlantes, plus de 150 cyclistes se sont réunis ce samedi-après place de Haguenau à l'appel de l'association Strasbourg à vélo. Une manifestation festive pour mettre en lumières les dangers que piétons et cyclistes rencontrent quotidiennement. En cause : l'absence de pistes cyclables et de signalisation. En ligne de mire : l'axe routier Strasbourg-Schiltigheim-Bischheim, que nombre d'entre eux empruntent, pour aller travailler, emmener les enfants à l'école ou faire les courses.

Reportage sur France 3 Alsace (Vélorution et planche à clous) 

Les parents roulent de front 

Accompagnés par deux voitures de police, les cyclistes sont davantage en sécurité qu'à l'accoutumée. Malgré l'escorte, l'illusion de sécurité ne dure pas. Peu après le passage du panneau de Schiltigheim, route de Bischwiller, la piste cyclable disparaît. Les vélos doivent alors partager la route avec les automobilistes. 

Jusqu'à Bischheim, le paysage reste sensiblement le même. C'est là que la fille de Dorothée a été percutée par une voiture à la sortie de l'école, peu avant les vacances de la Toussaint 2021. "Je n'étais même pas surprise. C'est comme si je m'y attendais tant on voit des choses dangereuses qui arrivent tous les jours. On ne peut pas contrôler le comportement des gens mais on pourrait avoir des aménagements qui protègent les plus fragiles". Lui demander de raconter son expérience de cycliste et piétonne à Bischheim, c'est saisir l'ampleur du problème. "C'est avoir peur tout le temps, lâche cette membre de l'association Strasbourg à vélo, ou se voiler la face pour ne pas avoir peur".

Suite à l'accident, Dorothée a écrit une lettre ouverte au maire de Bischheim Jean-Louis Hoerlé et au vice-président de l'Eurométropole chargé des mobilités Alain Jund. Une rencontre avec ce dernier interviendrait prochainement. 

Tout est à faire 

"Il manque trois décennies d'aménagements sécurisés pour les mobilités actives. Bischheim est une ville qui est construite autour la voiture. Il y a de la place pour la voiture en circulation, de la place pour la voiture en stationnement", assène Benoît Ecosse, membre du collectif Vélorution et de l'association Strasbourg à vélo, quelques minutes avant le départ du cortège. 

"Il faut une piste cyclable en site propre. Cela va sûrement se faire à Schiltigheim. Des passages piétons protégés. Des feux tricolores en 3D, des ralentisseurs. Il existe plein de solutions pour que les plus vulnérables puissent circuler le plus sereinement possible." 

Partisan des mobilités douces, il déplore la lenteur des autorités"On est soutenus par les élus de Strasbourg et de Schiltigheim. Mais ça prend beaucoup de temps au niveau de l'Eurométropole. On a vu des villes [Paris, NDLR] faires des coronapistes en quelques semaines. Ici quand il s'agit de faire des projets c'est plutôt des études qui durent plusieurs années, alors que les cyclistes ont vraiment besoin d'aménagements rapidement". Le militant pro-vélo en veut pour preuve le peu d'aménagements concrets réalisés suite à un courrier adressé aux élus fin 2020.

 

France Bleu AlsaceFrance Bleu Elsass
 
#Sécuritéroutière #Manifestations #Vélo

 

Une Startup française propose ce nouveau produit aux collectivités pour sécuriser les vélos contre le vol. 

 

S’il y a un secteur où la pratique du vélo doit être particulièrement accélérée, c’est bien dans celui du monde du travail. Les employeurs jouent un rôle essentiel afin d’apporter les conditions nécessaires et accompagner le changement de comportement de leurs salariés. Les bénéfices seront au rendez-vous : des salariés plus ponctuels, moins malades et plus productifs qui limitent l’impact environnemental de leurs déplacements domicile-travail. Que mettre en place pour accompagner les salariés ? Le dispositif GoodWatt propose une réponse concrète et clé en main aux employeurs avec le VAE comme objet transitionnel vers une mobilité durable. Entretien avec Sébastien Rosenfeld, directeur du programme, et Elodie Frémaux, responsable marketing et communication.

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©LoVELOve Factory

Vélo & Territoires : Le dispositif GoodWatt, de quoi s’agit-il ?

Sébastien Rosenfeld : GoodWatt s’inscrit dans le programme CEE O’vélO! qui a pour objectif de promouvoir le VAE pour les déplacements domicile-travail. Conçu par Mobilités Demain, filiale dédiée aux mobilités durables d’Énergies Demain, le dispositif est soutenu par l’Ademe et financé par Bolloré Energy à travers les Certificats d’Economies d’Energie (CEE). L’employeur est en position de faire évoluer les pratiques de déplacement de ses salariés. Avec le dispositif GoodWatt nous leur proposons une solution clé en main. Le programme sera déployé dans 25 agglomérations dès mars 2021 avec l’appui des entreprises, des collectivités et des      administrations de plus de 200 collaborateurs. Nous ciblons en priorité les agglomérations proposant déjà de bonnes conditions cyclables. L’objectif est de toucher 450 employeurs publics et privés et d’accompagner 10 000 salariés dans la découverte et le test du VAE d’ici fin 2022. Le dispositif GoodWatt est complété par Cyclope, un outil numérique destiné aux collectivités, qui leur permet de visualiser les infrastructures d’un territoire, de caractériser sa cyclabilité et de définir le potentiel de report modal pour les déplacements domicile-travail.

Concrètement, ça se passe comment ?

Sébastien Rosenfeld : Le programme se déroule en quatre étapes. Première étape, la sensibilisation. Avec nos outils numériques, nous sensibilisons l’ensemble des collaborateurs aux avantages du VAE. Les témoignages vidéo des salariés qui ont déjà passé le cap joueront un rôle important. Nous avons choisi sept ambassadeurs, dans des zones géographiques variées et avec des histoires particulières, qui montrent que c’est possible d’utiliser le VAE pour les déplacements domicile-travail et que cela a de multiples avantages. Ce sont des exemples concrets, source d’inspiration pour de nombreuses personnes. Deuxième étape, un essai découverte de quelques minutes d’un VAE proposé à tous les salariés des 450 employeurs bénéficiaires. L’idée est de leur offrir un premier contact avec le VAE. Troisième étape, 25 salariés de chacun de ces employeurs sont accompagnés dans la pratique avec le prêt d’un VAE équipé et assuré pendant un mois et une formation au savoir rouler en ville en sécurité. Au total, nous aurons 625 VAE qui tourneront tous les mois d’employeur en employeur dans les 25 agglomérations. Enfin, la quatrième étape est celle du bilan. Nous proposons aux salariés, ainsi qu’à l’employeur un bilan personnalisé et des propositions d’actions pour continuer leur transition vers le VAE pour leurs déplacements quotidiens.

 

Avec qui travaillez-vous pour le prêt de VAE ?

Sébastien Rosenfeld : Nous travaillons avec Cycleurope Industries situé à Romilly-sur-Seine dans l’Aube. Les salariés se voient proposer des vélos de ville de la marque Gitane, adaptés à tous les gabarits, équipés d’un moteur central Bosch et de freins à disque. La batterie offre une autonomie de plus de 100 km. Pour que l’expérience soit la plus complète possible, les accessoires sont également fournis : casque, gilet réfléchissant, antivol U, vêtement de pluie, sacoches, support pour smartphone, siège pour enfant.

Comment une collectivité peut participer à ce programme ?

Elodie Frémaux : Une collectivité peut y participer de trois manières. Premièrement, en s’inscrivant au programme en tant qu’employeur. Les agents des collectivités sont les premiers ambassadeurs de la politique vélo des territoires. Deuxièmement, en faisant connaître le programme aux employeurs présents sur leur territoire. Les outils digitaux développés dans le cadre du programme peuvent largement être repris par les collectivités. Nous diffuserons du contenu utile et nourrirons la relation avec les territoires via notre site web et LinkedIn. Troisième action, les collectivités peuvent s’approprier l’outil Cyclope (y compris de manière indépendante aux prêts de vélo) pour établir un diagnostic et assurer le suivi de la mise en œuvre de leur plan de mobilité ou de leur schéma directeur cyclable.

Sébastien Rosenfeld : Prenons deux exemples concrets. Un des sept ambassadeurs habite        Blagnac. C’est une évidence pour nous de proposer également le dispositif à cette commune pour y promouvoir le VAE pour les déplacements domicile-travail. Du côté de Nantes, la CCI va prochainement réunir des chefs d’entreprise pour un temps d’échange sur la mobilité à vélo. Ça sera l’occasion pour nous de partager les témoignages des employeurs qui auront participé au programme, auprès de ceux qui n’ont pas encore franchi le cap. Nous misons beaucoup sur les retours d’expériences que nous diffuserons sur nos réseaux pour en faire profiter le plus grand nombre.

Quel budget est alloué au programme ?

Elodie Frémaux : Le programme O’vélO! est subventionné à hauteur de 7 millions d’euros par les CEE. Le dispositif est gratuit pour les salariés et il y a un reste à charge pour l’employeur qui correspond à la part non financée par les CEE. Le programme est clé en main pour les employeurs. Il comprend les actions de sensibilisation, les animations, un mois de prêt et d’accompagnement dans la pratique pour 25 salariés qui souhaiteront se lancer et un bilan pour poser les jalons d’une politique vélo structurée au sein de l’entreprise. C’est aussi un moyen d’initier une dynamique collective autour du vélo et de vérifier si la demande des salariés est présente.

Quelle est l’incidence de la crise sanitaire ?

Elodie Frémaux : Pour le dispositif digital et le déploiement opérationnel du prêt de VAE le Covid n’a quasiment pas d’incidence. A contrario, il est difficile de proposer des animations et des essais de découverte à l’heure actuelle. Nous allons miser sur le digital pour sensibiliser les salariés et nous ferons au mieux pour nous adapter et réaliser les actions de sensibilisation et de formation dès que possible. Si le télétravail rentre dans les usages, et tant mieux, il n’est pas possible partout et pour tous. Côté employeur, promouvoir la pratique du vélo auprès de ceux qui doivent se rendre sur leur lieu de travail est un signal fort d’attention sociale.

Quels défis vous attendent ?

Sébastien Rosenfeld : De nombreux employeurs jugent indispensable de renforcer la mobilité durable de leurs salariés et d’accompagner le changement de comportement, mais estiment la tâche compliquée. L’enjeu est de toucher les employeurs qui souhaitent passer à l’action, mais qui ont besoin d’un coup de pouce.

Elodie Frémaux : Au-delà des objectifs chiffrés affichés, le programme aura porté ses fruits si un grand nombre des 10 000 salariés adoptent durablement le vélo dans leur quotidien     . N’oublions pas qu’une expérimentation est souvent le stade qui précède l’adhésion à un mode de déplacement alternatif. Nous en sommes convaincus : le VAE, l’essayer c’est l’adopter.

Propos recueillis par Dorothée Appercel

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Revoilà l’idée par la voie parlementaire. Jeudi, l’obligation de porter un casque à vélo – et sur tout autre véhicule à «une ou plusieurs roues à moteur ou à assistance électrique» – sera au menu des discussions sénatoriales. A l’origine de la proposition de loi, qui prévoit une contravention de 135 euros pour les récalcitrants, des sénateurs centristes soucieux de «renforcer la sécurité des cyclistes modernes, sans considération de leur âge». En effet, à l’heure actuelle, seuls les moins de 12 ans doivent impérativement être équipés d’un casque.  Ils proposent d'étendre l’obligation aux cyclistes adultes et adolescents (comme en Australie depuis trente ans) pour éviter des drames – 178 cyclistes sont morts sur les routes en 2020, un chiffre stable malgré la hausse des déplacements citadins à vélo.

En terme de prévention des risques il serait sans doute plus efficace de s'attaquer à l'origine du risque pour les cyclistes. Dans l'ordre la vitesse des automobiles, la qualité des infrastructures destinés aux cyclistes et le disfonctionnement des organes de sécurité des vélos (freins, dispositif d'éclairage).

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La contrainte, imposée, pourrait en outre engendrer une baisse de la pratique – dont le bénéfice à long terme est «vingt fois supérieur au risque» (pour le climat ou la santé publique). Moins il y a de cyclistes, plus les effets positifs de la «sécurité par le nombre» tendent à s’atténuer en matière d’accidentologie. 

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