Lucky

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Plus de 40 représentants d'entreprises, d'associations, de collectivités et d'établissements scolaires du territoire se sont rassemblés hier soir au Centre de Réadaptation de Mulhouse, en présence de Philippe Sturchler, conseiller communautaire m2A en charge des mobilités douces et partagées, pour préparer le Challenge vélo m2A 2023.

Vous êtes chef d'entreprise, salarié ou professeur et avez la possibilité de vous déplacer à vélo sur votre lieu de travail ? Motivez-vos collègues ou vos élèves et relevez le défi. 

Ce défi, bon pour la santé et pour la planète, fédère de nombreux participants chaque année. 

Les inscriptions ouvrent prochainement, préparez-vous à pédaler ! 

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#ChallengeVELOm2A #ChallengeVELOm2A2023 #MobilitésDouces #PlanClimat

Les trois blocs du socle commun de compétences du « Savoir Rouler à Vélo » (10 heures minimum d’apprentissage), qui peuvent peut être dispensés sur les temps scolaire, périscolaire, et extra-scolaire, sont les suivants :
• Bloc 1 : savoir pédaler (maîtriser les fondamentaux du vélo) – 2 à 5 h,
• Bloc 2 : savoir circuler (découvrir la mobilité en milieu sécurisé) – 3 h,
• Bloc 3 : savoir rouler (se déplacer en situation réelle) – 2 à 5 h

Le dispositif Savoir Rouler à Vélo (SRAV), vise à généraliser l’apprentissage du vélo pour les enfants du cycle 3 (notamment les CM1 et CM2), a été officiellement lancé le 17 avril 2019 : découvrez le site internet du SRAV.
L’apprentissage du vélo en milieu scolaire et le dispositif Savoir Rouler à Vélo ont fait leur entrée dans le Code de l’éducation (LOI n°2019-1428 du 24 décembre 2019 - art. 57).

Alsace Vélo École est maintenant autorisé, après signature d'une convention, à dispenser cette formation aux élèves du cycles 3 dans l'ensemble du Haut-Rhin.


Les trois blocs du socle commun de compétences du « Savoir Rouler à Vélo » (10 heures minimum d’apprentissage), qui peuvent peut être dispensés sur les temps scolaire, périscolaire, et extra-scolaire, sont les suivants :
• Bloc 1 : savoir pédaler (maîtriser les fondamentaux du vélo) – 2 à 5 h,
• Bloc 2 : savoir circuler (découvrir la mobilité en milieu sécurisé) – 3 h,
• Bloc 3 : savoir rouler (se déplacer en situation réelle) – 2 à 5 h

Le dispositif Savoir Rouler à Vélo (SRAV), vise à généraliser l’apprentissage du vélo pour les enfants du cycle 3 (notamment les CM1 et CM2), a été officiellement lancé le 17 avril 2019 : découvrez le site internet du SRAV.
L’apprentissage du vélo en milieu scolaire et le dispositif Savoir Rouler à Vélo ont fait leur entrée dans le Code de l’éducation (LOI n°2019-1428 du 24 décembre 2019 - art. 57).

Alsace Vélo École est maintenant autorisé, après signature d'une convention, à dispenser cette formation aux élèves du cycles 3 dans l'ensemble du Haut-Rhin.

Les draisiennes et vélos enfants ont fait leur première sortie au Forum Citoyen de la Transition Écologique dont la première édition s'est déroulé à Zillisheim au Porte du Sundgau alsacien.

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Une dizaine d'enfants ont pu profiter de l'animation draisiennes et petits vélos Woom sur un le parcours jeux "Apprendre le vélo" proposé par Alsace Vélo École.

La micro-entreprise s'investit de manière rigoureuse et professionnel à former les "nouveaux" cyclistes à la conduite en milieu rural, périurbain et urbain.
L'idée est d'accompagner  et de former tous les publics à l'usage du vélo. Exemple,  les personnes actives ou à la retraite qui ont décidé  de limiter leur déplacement en véhicule polluant  et qui ont quelques craintes à s'aventurer sur le domaine considéré à tort , par certain automobilistes,  comme réservé aux véhicules motorisé.
L'Animateur Mobilité Vélo intervient également  pour former les élèves du primaire, la nouvelle génération de cycliste, qui sera fortement incité à se déplacer sur les courtes distance en privilégiant le vélo pour les trajets du quotidien.

Le Forum Citoyen de Transition organisé par la commune de Zillisheim aurait mérité un peu plus d'affluence car sobriété énergétique et petits gestes du quotidien , dont la mobilité raisonnée, sont souhaitable pour préserver notre belle planète. 

 

lundi, 20 février 2023 21:44

Yannick, carreleur, ne circule qu'à vélo

Dans la région de Clermont-Ferrand, pays de montagne, Yannick Leduc, carreleur, a fait le choix de ne circuler qu'à vélo. Même pour son travail. Des raisons personnelles et éthiques. Mais ne lui dites pas qu'il est écolo ! L'homme se veut libre. Rencontre.

Dans sa remorque égayée d’un joli bleu ciel, il charge ses règles, ses seaux, ses truelles, son perforateur. « Je peux mettre jusqu’à 350 kg d’outils dedans », explique celui qui a repris son métier de carreleur il y a 2 ans et demi.  « Et les palettes de carrelage sont livrées sur le chantier par les fournisseurs. » Yannick Leduc va tout simplement travailler…à vélo. Poussé par sa remorque. « Je l’ai découverte sur un chantier. Ils l’utilisaient à l’intérieur du bâtiment pour apporter les matériaux. A l’époque, je ne savais pas qu’elle pouvait s’atteler sur un vélo. »

Dans sa remorque, le carreleur peut transporter jusqu'à 350 kg de matériel

Dans sa remorque, le carreleur peut transporter jusqu'à 350 kg de matériel • © Stéphanie Vinot

Une remorque électrique avec un moteur dans chaque roue. Et autonome. « Elle a un petit cerveau qui lui permet de se déplacer toute seule. C’est comme un transpalette et c’est elle qui pousse le vélo. » Elle : la remorque. Yannick en parle comme si c’était une personne. Avec affection. « C’est mon bébé », lâche-t-il en riant. « Elle m’a déjà fait un ou deux caprices, faut apprendre à la connaître. Quand je suis sur le vélo, j’ai dû m’habituer à ce que ce soit elle qui me pousse. »

Et ainsi, depuis deux ans et demi, Yannick part travailler de bon cœur. A coups de pédale – car il en faut quand même. « J’ai arrêté de traiter les chantiers qui sont trop loin. Je me limite à un rayon de 15 km. »

La remorque, autonome et électrique, s'attèle sur un vélo

La remorque, autonome et électrique, s'attèle sur un vélo • © Stéphanie Vinot/FTV

Dans la rue principale de Ceyrat, la circulation est dense mais le carreleur a pris soin d’attendre que le flot des voitures soit déjà moins important qu’à l’heure de pointe du matin. Et quelle chance. Le froid est toujours piquant mais le soleil a décidé de pointer un petit bout de son nez. La neige attendra encore. La montée vers le chantier, dans un quartier de la commune, sur les flancs de ce qui dut être un volcan, se fait plus agréable. Mais Yannick Leduc, de toute façon, est à l’aise par tous les temps. Sur sa tête, un bonnet en forme d’ours. Il en possède aussi un en forme de lapin, le cadeau de Noël de sa fille. « J’en ai une dizaine comme ça. Je n’ai pas envie d’avoir le même look pendant 40 ans. » Et de se prendre trop au sérieux.

Et puis le cinquantenaire, cheveux accrochés sur l’arrière, assume son choix : « Quand tu vas faire du ski, tu ne te plains pas qu’il neige ou qu’il fait froid ! » Alors, chaque matin, Yannick est heureux d’être au contact des éléments.

Un monde meilleur

« Depuis 2017, je ne circule plus qu’à vélo ! » La conséquence d’un infarctus après une vie un peu trop vécue. « J’ai vendu tous mes véhicules et depuis 5 ans, je n’ai dû rouler que 15 fois au maximum en voiture. » Le vélo pour la santé. Et pour motif écologique. « Je veux apporter ma contribution pour un monde meilleur. Pour la planète, mes enfants et leurs enfants », lâche-t-il dans la côte et ses virages, sans être le moins du monde essoufflé. 

« Ecolo ? Mais ce mot veut tout dire et rien dire. Je suis sensible à l’avenir et au futur de notre planète. Mais dire que je suis 100 % écolo, non. Sinon je mangerais des graines comme les poules. Mon père était boucher-charcutier. J’ai mangé des steaks très jeune. Si du jour au lendemain, je commence à manger des graines, ça va pas l’faire ! » Mais comme il le dit très bien, un grain de sable ajouté à d’autres grains de sable, on fait une plage. A chacun de faire sa part. Et puis la surconsommation, la pollution des eaux, les forêts qui brûlent, tout ça, en revanche, ça l’inquiète. « Je réalise la gravité de la situation. » L’effet de l’âge aussi. « J’ai passé 50 ans, j’ai conscience de ce qui est en train de nous arriver. » Pessimiste ? « Réaliste ! »

Ses clients d’aujourd’hui ne savent même pas qu’il va venir chez eux à vélo. Ils le découvrent, étonnés, le premier jour du chantier. Yannick Leduc n’en a même pas fait un argument commercial.

Les bienfaits d’une politique de mobilité durable globale et cohérente apporte énormément d’avantages aux entreprises parmi lesquels on peut citer :

  1. Une amélioration de la santé et du bien-être des employés : Les employés sont plus actifs et en meilleure santé lorsqu’ils sont encouragés à adopter la mobilité durable, notamment le vélo.
  2. Réduction des coûts pour l'entreprise : Une politique de mobilité durable peut réduire les coûts de transport des employés en offrant des incitations financières comme le FMD pour l’achat de véhicules à faible émission et en favorisant le covoiturage.
  3. Réduction des émissions CO2: Une politique de mobilité durable peut contribuer à réduire les émissions de carbone des déplacements domicile-travail.
  4. Amélioration de la productivité et de l’engagement des employés : Une politique de mobilité durable ambitieuse peut renforcer l’attachement des salariés à leur entreprise car le combat contre le changement climatique concerne toutes les parties prenantes de la société. Et de ce point de vue, l’entreprise remplit son devoir sociétal et environnemental pour la plus grande satisfaction de ses salariés.
vendredi, 10 février 2023 08:59

Atelier "Challenge vélo m2A" on vous boost !

 

La communauté d'agglomération  m2A   propose depuis quelques années aux entreprises et plus récemment  aux établissements scolaire  de participer à un challenge pour changer nos habitudes en matière de transport domicile-travail .

Et vous ? Où en êtes-vous dans votre entreprise ? Prêt à relever le Challenge Mobilité de la m2A?

Inclure le maximum de salariés et de collaborateurs  pour les amener à effectuer une ou plusieurs fois leur trajet pendulaire dans la période de 2 au 26 mai un défit collectif bon pour l'esprit de groupe et de convivialité au sein de votre entreprise. 
Vous avez besoin d'outils de persuasion et savoir comment organiser concrètement ce défit alors participez au prochain atelier " Challenge vélo m2A" jeudi 9 mars 18h - 20h coaché par Jérôme Zindy.
Au cours de ces ateliers vous pourrez échanger avec d'autres  référents d'entreprises qui ont déjà participé au challenge. Vous pourrez également  obtenir des conseils d'un professionnel  de la formation mobilité vélo pour vous donner des conseils et pour vous aidez à lever les freins auprès de vos collègues ou des managers de votre entreprise.

De plus en plus d'animations et de challenges ayant pour objectif la réduction de la dépendance à l'automobile sont proposées aux français. Lorsqu'on cherche des alternatives à la voiture le vélo, qui est peu coûteux et rapide sur des distances raisonnable (variant entre moins de 5km et au delà de 10 km), peu permettre aux navetteurs d'effectuer l'intégralité de ses trajets quotidien ou en combinant avec les transports en commun ou simplement la marche. 

Inscription à l'atelier " Challenge vélo m2A" : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 
Coaching à vélo au boulot  : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

mercredi, 08 février 2023 17:01

Coopcycle livre vite et surtout bien

En ville la livraison à vélo est souvent l'affaire de start-up qui recourt à des sous-traitants précaires et sous-payés. En réponse la fédération Coopcycle a créé un commun numérique qui permet aux livreurs de reprendre leur destin en main une reconquête sociale.

Vous les avez remarqués chargé d'un grand sac à dos au logo d'une start-up ils sillonnent les artères urbaines et enchaînent les livraisons point une pizza Paris par-ci un sushi par-là hé c'est un métier sympa qui permet de bien gagner sa vie sans y consacrer trop d'heures affirme Valentin Campana. En 2016, alors étudiant en philosophie le jeune strasbourgeois loue ses mollets avec entrain. Mais très vite les conditions se dégradent adieu salaire horaire et prix à la livraison. A partir de 2017, les livreurs se faisaient rémunérés à la tâche cela créait une ambiance détestable au sein des équipes certains livreurs ne recevaient aucune commande se souvient Valentin.


À partir de ce moment la volonté d'émancipation est très forte au sein des sous-traitants #Coopcycle l'alternative éthique.

coursiers-niortais


Mais comment s'affranchir de ces start-up de la livraison ? « Le secret c'est l'application gratuite sur smartphone : je choisis mon repas je commande je paye c'est livrer et parfois même je bénéficie d'un code promo» explique Alexandre Segura ce développeur informatique parisien rejoint ensuite par le nantais Adrien Claude se met au travail pour créer une application concurrente avec une différence ce sera un commun numérique mis à la disposition des coopératives locales qui appliqueront leurs règles de fonctionnement en respectant le droit du travail « Nous ne jouons pas de la même cour que ces start-up riches à millions, mais nous sommes fiers du travail accompli ».
Une trentaine de coopératives locales ont émergé à l'initiative d'anciens livreurs désormais émancipés tels que #Kooglof créé par Valentin Campana à Strasbourg «Nous représentons une nouvelle énergie et nous sommes décidés à transformer positivement le secteur de la cyclo logistique», témoigne Guillaume Blanchet fondateur de Naofood à Nantes. « Face à libéralisation qui gangrène le tissu social, nous apportons une réponse d'entrepreneur éthique nous prenons soin de nos clients, nos livreurs et nos marchandises les restaurants qui travaillent avec nous agissent de même en promouvant une alimentation responsable locale et de qualité » Les membres de Coopcycle versent 2% de leur chiffre d'affaires au siège fédéral « Les sommes ainsi recueillies sont réinvesties pour améliorer l'interface numérique collée aux besoins de formation de nombreux membres et les accompagner dans leur développement», précise Adrien Claude.

Pour accroître leurs revenus beaucoup de coopératives locales étendent leurs activités bien au-delà de la livraison de repas. Les vélos cargos des Coursiers Niortais déplacent jusqu'à 200 kilos de charges utiles en un seul trajet. Chaque matin 3 camions déposent des colis à livrer dans le centre ville de Niort. Ce surcroît d'activités a permis d'embaucher des salariés . «La livraison à vélo va énormément se développer nous en sommes convaincus ».

La livraison en milieu urbain est presque 2 fois plus rapide et 8 fois moins polluante qu'en fourgon*. C'est un secteur stratégique pour les années à venir qu'il faut continuer de confier à des entreprises respectant le droit du travail.

*source Westminster université 2021

La remise des prix pour les gagnants du concours " Jeux de Noël" organisé par #AlsaceVéloÉcole à eu lieu samedi 28 janvier à #Riedisheim. Les 4 casques vélo enfants #woom en jeux ont ravis Léo, Julie, Liam, Juju et leurs parents.

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Un nouveau jeux concours sera organisé dans la période de Pâques suivez l'actualité de la vélo école de la région Mulhousienne sur les réseaux !

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Le gouvernement avait promis 250 millions d’euros en 2023 pour le développement du vélo. Où sont-ils ? Les associations constatent « lenteurs, des reports et des imprécisions ».

Le gouvernement ne roule pas pour le vélo. Ou du moins, trop lentement. Alors que la Première ministre avait annoncé en grande pompe, en septembre dernier, qu’elle débloquerait 250 millions d’euros en 2023 pour le développement des mobilités actives, ces promesses tardent à se concrétiser.

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