Lucky

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dimanche, 18 février 2024 10:13

La ville de demain

Penser la ville sans voitures : c'est l’un des défis à relever dans l'aménagement de l'espace urbain moderne. De Barcelone à Copenhague en passant par Berlin et Paris, tour d’horizon de plusieurs approches pionnières. Comment rendre nos villes plus agréables à vivre, dépolluer l'air, trouver des solutions pour faire face à la hausse des températures liée au changement climatique, ou encore créer de l'espace pour une population en croissance constante ? Autant de défis auxquels sont confrontées les métropoles du monde entier. Pionnière en la matière depuis les années 1960, Copenhague continue de penser la ville hors des sentiers battus et des rues saturées par l'automobile, tandis que des projets alternatifs se multiplient aussi désormais dans d'autres capitales européennes, notamment à Barcelone, Berlin ou Paris. Plus loin, à Singapour, la ville poursuit sa densification, mais en hauteur et sans moteurs... L'avenir est-il à l'absence de mobilité, cette "ville du quart d'heure" (la durée de marche idéale pour accéder aux services), dont parle l'architecte Carlos Moreno ? Entre réalisations concrètes et utopies, une esquisse passionnante du visage des métropoles de demain.

Restitution de la journée d’étude du 18 janvier 2024, Chambéry

Alors que la plupart des métropoles s’activent pour développer des réseaux cyclables structurants, que certains territoires peu denses deviennent des « démonstrateurs cyclables », la « France des préfectures et des sous-préfectures » se mobilise également pour concevoir la solution vélo de demain. Rassemblé.es à Chambéry le 18 janvier 2024, plus de 60 représentant.es d’associations et de collectivités ont échangé autour de la transposition du concept de réseau express vélo hors des grandes métropoles.
Cette journée d’étude s’est tenue à l’initiative de la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), de l’Académie des mobilités actives (ADMA) et de l’association de promotion du vélo savoyarde, Roue Libre. Elle a été ponctuée des interventions de l’association de Villes de France, du CEREMA et des retours d’expériences des métropoles de Rennes et de Clermont-Ferrand. Cet article en restitue les principales conclusions.

 

Une solution efficace dans les territoires de taille intermédiaire pour garantir la sécurité des cyclistes : le réseau express vélo

La « France des préfectures et des sous-préfectures » se distingue des grandes métropoles par une forte attractivité de la voiture et par un usage relativement faible des transports collectifs, souligne Armand Pinoteau, directeur administratif de l’association de collectivités Villes de France. Pour autant, le potentiel vélo y est tout aussi important, constate l’association à l’initiative d’une étude sur le vélo et les villes moyennes, notamment sur les trajets de cinq kilomètres, voire plus, si on prend en considération le développement des vélos à assistance électrique.

Pour activer ce potentiel vélo, la prise en compte des besoins des cyclistes est indispensable, à commencer par la mise en place d’infrastructures cyclables sécurisées. Mais contrairement à leurs homologues métropolitains, les territoires de taille intermédiaire sont confrontés à plusieurs enjeux : l’éclatement des compétences territoriales, notamment en matière de voirie, une fiscalité locale plus fragile que dans les grands territoires et une rentabilité moins importante des investissements dans le transport collectif et les infrastructures. 

Face à cet impératif de « faire mieux avec moins », le développement d’un réseau cyclable structurant apparaît comme une opportunité pour les territoires situés hors des grandes métropoles. Il permet d’offrir une solution de mobilités alternatives à moindre coût pour les usagers, comme pour la collectivité.

Les besoins des cyclistes pas si différents que dans les territoires métropolitains

Les participant.es à la journée de l’étude ont pu définir, au travers d’un jeu de rôle animé par l’ADMA, ce à quoi le terme de « besoin cyclable » renvoie. Sans surprise, la continuité cyclable du territoire, la limitation de la vitesse et du trafic motorisé, ainsi que l’installation de stationnement vélo sont ressortis comme des éléments déterminants. Il a été aussi question de confort des trajets, en lien avec la largeur des aménagements et les agréments possibles. On retiendra également que les participant.es ont intégré dans le besoin des cyclistes la bonne cohabitation avec les piéton.nes, notamment aux abords des traversées.

 

Qu’est-ce qu’un réseau express vélo ?

Un réseau express vélo (REV) est avant tout un réseau continu d’infrastructures cyclables permettant des trajets à vélo, sans coupures et sans détours. Les « lignes » d’un réseau express vélo relient les points principaux d’un territoire, en offrant sécurité et confort aux cyclistes, quelles que soient leurs pratiques. Il dessert en combinaison avec le réseau cyclable secondaire des lieux d’intérêt du quotidien. Il se pense en convergence avec l’enjeu de la sécurité des itinéraires et des traversées pour les piéton.nes et les personnes à mobilité réduite.

L'exemple rennais : un REV aux 14 liaisons cyclables centre-périphérie

La métropole de Rennes a présenté lors de cette journée d’étude l’avancée de son réseau express vélo. À compter de 2025, quatorze nouvelles liaisons cyclables « express » relieront Rennes aux communes de sa première couronne, pour un linéaire total de 105 kilomètres, détaille Guillaume Porcher, chargé d’étude mobilité. Le REV représentera 20 % du réseau cyclable de l’agglomération et supportera 80 % de la fréquentation cycliste.

État d'avancement du réseau express vélo rennais en janvier 2024, intervention de Rennes Métropole

 

Assurer le confort et la sécurité des cyclistes en section et en intersection : les recommandations du CEREMA

Pour répondre aux besoins des usagers, un REV (appelé également « réseau cyclable à haut niveau de service ») doit être constitué d’aménagements cyclables sécurisés et confortables. On retiendra, selon le CEREMA, principalement les pistes mono ou bidirectionnelles (d’une largeur escomptée de 2,5 à 4 mètres respectivement) ainsi que la vélorue (à la condition que les flux automobiles de transit soient supprimés). Toute forme de mixité avec le trafic automobile doit être prohibée lorsque la vitesse autorisée est supérieure à 30 km / h.

Localement, les collectivités intervenantes adaptent ces principes aux contraintes de leur territoire pour accélérer le déploiement des aménagements, ou bien garantir systématiquement la continuité des linéaires cyclables (réduction du gabarit des aménagements, intégration d’autres aménagements : voie verte et bandes cyclables).

La qualité d’un réseau cyclable structurant dépend également de la conception de ses intersections. L’orthogonalisation des flux de véhicules, la réduction de la distance des franchissements et la transformation du plan de circulation permettent d’améliorer la co-visibilité et réduisent le danger en intersection pour les cyclistes. Pour les carrefours les plus importants, la mise en place de carrefours dit « îlots-amandes » est recommandée. La « priorité vélo » sur le trafic sécant peut être systématiquement recherchée, en fonction des conditions souhaitées de circulation locale.

Illustrations de caractéristiques transversales d'un réseau express vélo, intervention du CEREMA

Pour assurer le confort des cyclistes, plusieurs éléments de conceptions doivent se retrouver sur l’ensemble du réseau : des rayons de courbures en adéquation avec les vitesses pratiquées par les cyclistes et des séparateurs d’aménagements cyclables « pardonnants » (bordures chanfreinées).

Une nouvelle signalétique du « C.réseau » Clermontois

Afin d’accompagner l’émergence de son nouveau réseau cyclable structurant, baptisé « C.réseau », la métropole clermontoise a développé en 2023 une signalétique spécifique aux aménagements cyclables. Le cadre réglementaire ne prévoit pas de marquage d’animation, mais en pratique rien ne s’y oppose. Sans pour autant être indispensable dans un REV, elle renforce la visibilité des nouveaux aménagements tout en permettant une meilleure compréhension de l’espace public, souligne Simon Fessard, reponsable du pôle mobilités.

Signalétique et marquage horizontaux utilisés sur le réseau clermontois

 

Les clés du succès d’un réseau express vélo hors des grandes métropoles

Une politique cyclable intercommunale, coordonnée, financée et animée

Le périmètre d’un réseau cyclable structurant dépasse les frontières d’une commune. Ce projet d’infrastructure, pour être réalisé pleinement, doit être porté par une structure publique intercommunale, en associant l’ensemble des acteurs du territoire, dans une gouvernance unifiée. La réussite d’un projet de réseau cyclable nécessite l’implication des élu.es de la collectivité territoriale. L’activisme des élu.es permet de faire connaître le projet auprès des habitant.es et des autres élu.es du territoire. Autre impératif évoqué lors de cette journée : donner à la collectivité les moyens de son action. Cela passe par la structuration de services techniques et un budget dédié au projet.

À Clermont-Ferrand, le réseau cyclable structurant est l'un des ingrédients parmi d'autres d'une politique de mobilité alternatives

La réalisation d’un réseau cyclable structurant à Clermont-Ferrand s’inscrit dans un développement plus large de sa politique de mobilités actives à l’échelle de la métropole : schéma cyclable, « ville à 30 », piétonnisation et végétalisation. Parallèlement au projet vélo, la métropole a entrepris une refonte importante du plan de circulation, pour couper le trafic de transit automobile en son cœur et donner plus de place aux modes actifs et au développement d’un bus à haut niveau de service (BHNS). Ces réalisations simultanées demandent une très bonne coordination des services internes.

Vue du centre-ville de Clermont-Ferrand et des projets de mobilités en cours

Un dialogue avec les associations locales pour perfectionner et valoriser le projet de réseau cyclable

À Clermont-Ferrand comme à Rennes, les associations cyclistes locales jouent un rôle capital dans la conception des infrastructures et l’avancée des projets. Des réunions régulières entre les services techniques et les commissions aménagements des associations permettent de requestionner et d’améliorer les partis pris techniques tout au long du processus d’aménagement.
Plus largement, les associations de cyclistes peuvent promouvoir les réalisations et participer à la communication auprès du grand public, centrale pour réussir l’objectif d’augmentation de la part modale vélo.

Faire découvrir aux habitant.es, valoriser, inciter à la pratique

Parallèlement au développement des infrastructures, la mise en place d’une communication positive à destination des habitant.es est primordiale. Elle permet de faire découvrir le réseau cyclable et ses atouts (itinéraires nouvellement ouverts, temps de parcours « garantis », redécouverte du territoire, etc.) et permet d’inciter à l’expérimenter. Dans cette perspective, utiliser le témoignage des néo-cyclistes s’avère particulièrement mobilisateur. 

Pour aller plus loin

Retrouvez l’ensemble des supports des interventions
Intervention de Villes de France : Lien du document
Lien de l’étude de Villes de France : Lien du document
Intervention du CEREMA : Lien du document
Intervention de Rennes Métropole : Lien du document
Intervention du Clermont Auvergne Métropole : Lien du document

Cette journée a été organisée grâce à l’implication de la Ville de Chambéry et Grand Chambéry, que nous remercions.

Axel Lambert
Chargé de plaidoyer

  • Adhérer

Les inscriptions de toutes les manches du East Coast Enduro Tour ouvriront Jeudi 1er février à 20h sur le site www.njuko.net.

 

19 mai : Ste Marie aux Mines : Enduro(15+) + Kids (11-14)

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08-09 juin : Semoy : Enduro(15+)

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08 septembre : Bussang-St Maurice : Enduro (15+)

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15 septembre : St Dié des Vosges: Enduro (15+) + Kids (11-14)

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#eastcoastenduro

#firstraceoftheseason

#makeitcount #enduro #grandest #lovingit

#loizoriderproductions

Le plan de développement des mobilités douces se poursuit à Mulhouse après l'aménagement du Parc des Terrasses du Musée (Bld Roosevelt) les travaux débuteront  dans le secteurs de l’avenue Briand, du boulevard Roosevelt et de la Porte de Bâle. La place de la voiture sera  repensée, au profit des piétons, cyclistes et des transports en commun.

Voir l'article complet sur le site M+ info

Offre d’emploi en CDI d’un(e) chargé(e) de projets pour l’implantation d’une Maison de la Mobilité basée à et autour de la gare de Wissembourg en vue d'offrir :

• Un atelier de réparation de vélos

• Location de vélos

• Bornes de rechargement de vélos

• Coordination de covoiturage

• Coordination de Transports à la demande

• Conciergerie

La personne sélectionnée sera employée par l’Association Mobilex qui est le partenaire de la Ville de Wissembourg pour l’élaboration de ce projet d’envergure autour de la Gare de Wissembourg.

Pour plus d'informations, contactez Isabelle Gauguet, chargée de mission au 06 37 01 13 38

 

De plus en plus de personnes souhaitent utiliser leur  vélo pour effectuer des trajets quotidien mais lorsqu'il s'agit de s'élancer  certain  hésitent ou renoncent à en faire en ville ou sur la route par peur de la circulation et de l'accident.

Alsace Vélo École peu vous aider à surmonter vos craintes en vous proposant  des cours  de vélo pour vous aider à reprendre confiance.

En France 85% de la population sait faire du vélo mais beaucoup hésitent à utiliser ce mode de transport. Un des principaux argument des personnes est que faire du vélo est dangereux ! 
En réalité et si on veut rester objectif la pratique du vélo expose certes à certain risques mais apporte aussi des alternatives et des solutions qui mis bout à bout permettent d'être en meilleur santé, de faire des économies et d'avoir une démarche active vis à vis des problèmes liés à l'environnement et au climat.  

Travailler le démarrage, l'équilibre, le freinage

Jean-Luc  est le spécialiste du vélo en ville et c'est un des rares Animateurs Mobilité Vélo à en avoir faire son métier dans le Haut-Rhin. "Durant ma formation j'ai constaté que les gens hésitent  à exposer leur craintes et qu'ils souhaitent progresser rapidement . Il m'a semblé pertinent de donner la possibilité aux personnes qui le souhaitent de prendre des cours de vélo privé".
On commence par faire un bilan pour évaluer l'aisance technique et s'accorder sur l'objectif final en passant par des étapes des choses simple comme le démarrage, l'équilibre et le freinage. 
Les mises en situation se font de manière progressive en commence par rouler sur des infrastructures réservé en milieu apaisé en adoptant les bons gestes jusqu'à la circulation en milieu dense.
Avoir un démarrage franc et rapide, c’est la base, mais il ne suffit pas de savoir pédaler, il faut apprendre à surmonter les obstacles faire des choix  et se souvenir que le code de la route s’applique aussi aux cyclistes.

L'offre tous compris d'Alsace Vélo École où vous voulez quand vous voulez

Pour vous mettre dans les meilleurs conditions Alsace Vélo École vous propose la mise à disposition d'un vélo et d'un casque parfaitement adapté à votre taille . Lors de la prise de contact on vous propose de trouver un site adapté à proximité de votre lieu de résidence ou de votre travail.

Une question concernant les cours de vélo composez le 0652465038

 

Après les Hauts de Chartreuse (Isère), une nouvelle affaire relevant du même cas de figure vient rebattre les cartes de la liberté de circuler des randonneurs, cette fois-ci dans le massif vosgien. Fin 2023, le groupement foncier forestier (GFF) de la Haute Doller a vendu 64 hectares de forêt au groupement foncier forestier du Wustkopf à Rimbach-près-Masevaux. Située entre le vallon du Neuweiherbach et le Gustiberg, la propriété est traversée par deux sentiers balisés (rond bleu et chevalet jaune, dit Steinweg). Entretenus par le Club vosgien Masevaux (CVM), ils relient le hameau d’Ermensbach aux lacs et à l’auberge-refuge du Neuweiher, très appréciés des marcheurs.

PHOTO   Le sentier balisé « disque bleu », ici dans la descente depuis le Petit Neuweiher, démarre par un passage rocheux lui-aussi connu et apprécié des randonneurs. (Archives photos LTD RANDO 68, septembre 2022)

PHOTO Le sentier balisé « disque bleu », ici dans la descente depuis le Petit Neuweiher, démarre par un passage rocheux lui-aussi connu et apprécié des randonneurs. (Archives photos LTD RANDO 68, septembre 2022)

Le 11 janvier, le CVM été avisé par un courriel au ton sec de la décision du nouveau propriétaire. ‘‘Nous interdisons tout passage sur notre propriété, selon la loi du 2 février 2023. Aucune tolérance ne sera admise. Veuillez enlever votre balisage cloué sur les arbres et passerelle […] au plus tard le 1er février’’, écrit Jean-Charles Muth, gérant du GFF.

CELA CRÉE UN PRÉCÉDENT

‘‘On est très inquiets. Cela crée un précédent dans une vallée qui compte 75 % de forêt privée’’, observe Guy Lasbennes, secrétaire du CVM. ‘‘Jusqu’à aujourd’hui, on n’avait eu aucun problème et la cohabitation avec les propriétaires était tout à fait correcte. La montagne est à tout le monde, c’est une atteinte à la liberté de circuler !’’ s’emporte-t-il.

Une ‘atteinte’ ménagée par cette loi du 2 février 2023 sur la limitation de l’engrillagement dans les espaces naturels. Vouée à assurer une continuité écologique pour la faune sauvage, elle semble par endroits être dévoyée. Jusqu’alors, un promeneur qui circulait en forêt privée n’encourait pas de sanction pénale. Désormais, il tombe sous le coup de l’article 226-4-3 du Code pénal. ‘‘Dans le cas où le caractère privé du lieu est matérialisé physiquement, pénétrer sans autorisation dans la propriété privée rurale ou forestière d’autrui, sauf les cas où la loi le permet, constitue une contravention de la 4è classe’’, stipule le texte législatif.

Le promeneur qui n’en tient pas compte s’expose à une contravention de 4è classe (175 à 375 €).

Voici la carte du secteur concerné, entouré par des lignes orangées, entre le hameau d’Ermensbach et les lacs de Neuweiher. (Capture d’écran OpenRunner, IGN, Club Vosgien et LTD RANDO 68)

Voici la carte du secteur concerné, entouré par des lignes orangées, entre le hameau d’Ermensbach et les lacs de Neuweiher. (Capture d’écran OpenRunner, IGN, Club Vosgien et LTD RANDO 68)

ON NE VEUT PERSONNE CHEZ NOUS

‘‘On ne dérogera pas, on est dans nos droits’’, assure Jean-Charles Muth qui promet de matérialiser l’interdiction. ‘‘On ne veut personne chez nous, c’est une réserve de chasse, c’est l’intégrité d’une propriété qui est en jeu. Ce qui a été fait avant ne nous regarde pas’’, se défausse-t-il.

Le CVM espère encore ouvrir le dialogue et parvenir à un terrain d’entente, au moins sur l’un des deux sentiers. Le dossier a été transmis à la Fédération du Club vosgien. ‘‘Nous allons nous battre pour garder l’ouverture des sentiers, qui permettent une itinérance douce et non invasive’’, réagit Joseph Peter, responsable de la commission environnement (et vice-président de la Fédération du Club Vosgien, qui regroupe 128 associations dans le massif, c’est moi qui rajoute).

La commune reste en retrait, dans l’attente d’avoir en main tous les documents. ‘‘Ça me dérange, ce sont deux sentiers que les touristes utilisent beaucoup pour monter au Neuweiher’’, concède le maire Michel Dallet.

En Isère, l’interdiction d’accès aux Hauts de Chartreuse, décrétée par leur propriétaire, a suscité la mobilisation d’associations et d’usagers de la montagne. Une pétition en ligne a recueilli 38 250 signatures. Entre le droit de se promener dans les espaces naturels et le droit à la propriété privée, le débat est ouvert. »

Beau succès du Cyclism Festival qui s'est déroulé lundi 22 janvier au cinéma Palace à Mulhouse.
La salle n°2 , 105 places, était comble et les organisateurs super satisfait.
C'est assez rare de pouvoir rassembler les pratiquants et les acteurs du cyclisme de tous les horizons :Vélotaff, Freeride, Route, Gravel, Cyclo etc.
C'est ça la magie du vélo!

Le défi scolaire est une extension du Défi « J’y vais ! » pour les établissements scolaires :
« A l’école, j’y vais autrement ! »,« Au collège, j’y vais autrement ! »,« Au lycée, j’y vais autrement ! ».

Ce Défi consiste à comptabiliser pendant la période du Défi le nombre de participants se rendant à leur établissement à vélo ou en modes actifs.

Le Défi est organisé par Vélo et Mobilités Actives Grand Est dans le cadre d’une convention avec l’ADEME Grand Est, en partenariat avec les collectivités et territoires partenaires du Grand Est .

#vma-grand-est #defi #j'yvai!

 

 

 

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